J’ai eu l’occasion de faire plusieurs bilans de compétences dans ma vie :
Après une démission pour suivre mon conjoint et changer de région (de Lyon, nous sommes allés nous installer à Reims) ;
A la suite d’un licenciement qui s’est terminé aux Prud’Hommes ;
Et tout dernièrement après ma rupture conventionnelle fin 2019 pour poser les bases solides de ma reconversion vers ma nouvelle vie d’indépendante et de coach.
Tous m’ont apporté des clés sur qui j’étais au moment où j’ai réalisé ces bilans. En effet, s’il y a des fondements qui ne bougent pas, notre âge, notre situation dans la vie professionnelle, notre position sociale, évoluent au cours des années. Chaque bilan est donc différent, et refaire un bilan n’est jamais inutile.
A force de rencontrer des personnes qui ne se sentent plus à leur place dans leur job, j’ai décidé de renforcer mes accompagnements en coaching avec cette casquette « bilan de compétences », et de passer de l’autre côté.
Est-ce qu’un bilan vous rassure plus qu’un coaching ? (parce que vous le connaissez davantage ?). Est-ce plus confortable de pouvoir financer cette période de transition avec votre CPF (Compte Personnel de Formation) ?
Je veux bien votre retour, mais peu importe en fait du moment où vous avez des outils pour aller mieux, et que vous décidez de vous prendre en main et d’aller de l’avant.
Pourquoi faire un bilan ?
Déjà pour y voir plus clair… Savoir ce qui se passe dans votre environnement professionnel, faire le tri entre ce qui vous convient, et ce qui ne vous convient plus.
Il y a ensuite une étape de renforcement de votre confiance en vous, en vos capacités professionnelles et savoir être.
Nous étudions ensuite le champs des possibles, et je vous accompagne dans cette analyse, prise de décision.
Il n’a pas forcément de remise en question, de démission, ou changement de vie radical.
Des fois, prendre conscience des bons côtés de ce qu’on vit suffit à changer de lunettes et voir la situation différemment.
Quand on choisit de rester, on ne subit plus la situation, et tout devient plus apaisé.
Comme dans tous mes accompagnements, je vous « éclaire le chemin » pour que vous puissiez voir la lumière au bout du tunnel.
A vous de décider d’avancer.